Avec tout ce qu’il se passe, vous me direz, il est normal d’être tourné plus vers le négatif..
Nous sommes confrontés à beaucoup d’informations, cependant, notre cerveau est habitué à ne retenir que le négatif.
Car cela lui demande un effort de positiver.
Selon une étude, nous aurions plus de 6000 pensées par jour, faites de pensées spontanées, des microémotions.
Les microémotions apparaissent sous forme d’inquiétude, de stress, de surprise ou d’intérêt. Elles influencent nos pensées, et détournent notre attention. Elle peuvent aider à la créativité.
Les pensées vagabondes sont déclenchées par les « microémotions », lorsque l’on n’est pas attentif à ce que l’on fait.
Une gestion des émotions, du stress, améliore la qualité de ces microémotions
Alors comment faire pour entraîner son cerveau à positiver ? À ne pas se laisser impacter par les discours négatifs etc…
Il ne s’agit pas d’ignorer les événements, nous pouvons en prendre conscience, cependant, il ne faut pas que cela interfère avec nos projets futurs.
Par exemple, il y a des personnes qui ressassent sans cesse les mêmes évènements, les mauvaises nouvelles…Ils répètent « ça va mal » « tout va mal.. » et en oublient leur priorité de vie, abandonnent leur rêve, ou ne se projettent même plus
En restant bloqué sur le mauvais, on ne peut voir des solutions. Le mauvais doit être une raison pour ne plus faire de soi une priorité et avancer ?
Pour booster son positif
- Éloigner les écrans, et leur dose d’information. Une sorte de digitale detox qui fait du bien, se concentrer à nouveau sur soi
- Se recentrer sur le moment présent ici et maintenant. Faire une nouvelle activité. Peindre par exemple, pour évader son esprit.
- Apprécier la solitude, prendre le temps de recharger les batteries, de se projeter sur quelque chose de nouveau
- S’entourer de personnes qui ont l’esprit ouvert et positif, qui ne ressassent pas toujours les mêmes mauvaises choses
Le positif se cultive
Attention toutefois à ne pas tomber dans la positivité toxique qui éloigne de la réalité, et fait penser qu’il n’y aura plus jamais de problèmes.
Il y a un juste milieu, être conscient de ce qu’il se passe, tout en travaillant son mental
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